un grand café-théâtre-restaurant
pour l'agglomération stéphanoise
Casino,
un mot connu de tous les français, qu'ils habitent un bourg ou une grande ville.
Ce mot a trouvé son origine rue Michel Rondet, au cœur de Saint-Etienne,
dans un temple des mille et une nuits.
La dernière activité de cafétéria ayant cessé, le lieu, qui a conservé son décor d'origine, complété par Léon Lamaizière, pourrait permettre à l'agglomération stéphanoise de se doter magistralement d'un équipement qui lui fait défaut :
un grand café-théâtre.
EXPOSE
Les stéphanois comme les hommes d'affaires de passage à Saint-Etienne, qui recherchent, impromptu, à assister à un spectacle n'ont pas d'autre offre que le cinéma.
En effet, les deux mini cafés-théâtres sont le plus souvent pleins et les grandes structures fonctionnent sur abonnement.
Un grand café-théâtre apporterait une alternative, celle du spectacle vivant, de nature à retenir certains de nos visiteurs qui ont tendance, le soir, à s'échapper sur Lyon.
Une offre double
Un grand café-théâtre avec une programmation visant une harmonie qualitative mais aussi une grande diversité propre à séduire, sur plusieurs registres, le grand public.
Un public de tous âges et provenances (les mini cafés-théâtres actuels reçoivent 50 % de clientèle extra-muros).
La programmation pouvant s'envisager 7 jours sur 7 hormis les jours de relâche.
Ces jours-là permettraient la réalisation de soirées privées, ouvertes notamment au monde économique pour promouvoir ses nouveaux produits ou prestations.
Un bistrot stéphanois développant largement les recettes locales pourrait venir, pour la clientèle, en offre complémentaire ou indépendante du spectacle.
CONCLUSION
S'appuyant sur l'identité la plus forte et la plus positive de la ville,
un grand café-théâtre-restaurant, à l'authentique originalité, offrirait à l'agglomération une carte de visite obligée pour une ville étudiante et d'affaire.
Page précédente /Retour/Page suivante 